Suite aux nouvelles propositions émises concernant le bannissement du terme « Noël » pour que les fêtes de fin d’années soit dénouées de toutes connotations religieuses ; face aux évolutions culturelles de notre ère et aux progrès des nouvelles technologies ainsi que le désir d’établir un monde multiculturel, la nécessité de l’évolution du Père noël s’impose en effet. Tout comme l’ont fait nos prédécesseurs Clement Clarke Moore, Thomas NAST et bien d’autres, à travers leurs œuvres littéraires et/ou artistiques, l’auteur Lyllah ROZ participe, à son tour, à l’évolution de la légende de Noël. Dès 1999, elle procède à son évolution pour l’adapter aux pays du sud, au climat tropical et aux nouvelles technologies pour l’étendre à diverses cultures. Les termes et expressions noël, Père noël, fêtes de noël semblent ne plus être souhaitables bien que laïque depuis 1951. Le Vatican reconnait que c’est au IVe siècle que le pape Libère (352-366) instaura la solennité de la Nativité, afin de christianiser la fête du solstice d’hiver, le Sol Invictus et que la nativité du Christ n’est pas située au 25 décembre de l’an I, comme le veut la tradition. L’auteur a résolu le dilemme en renommant la légende à travers un concept, de la littérature et musique. Ainsi les termes relatifs à Noël peuvent être remplacés par ceux de : Père Bonheur, fêtes de bonheur et/ou Bonheur. A la place de l’expression c’est Noël, il sera possible d’utiliser :« C’est Bonheur ».